Brûler ma plume par les deux bouts,
Pour être vue par tes yeux doux,
Les convenances moi je m’en fous,
Mais j’ai peur d’un non plus que tout.
Alors je tais mes soupirs fébriles
Je ferme mon coeur malhabile
J’éteins ma voix trop volubile
Bercée par ton regard fragile.
Pourras-tu voir dans mes poèmes
Là où tous mes mots t’emmènent?
Pourras-tu lire entre les lignes
Prendre ma main, sans autre signe?
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